Je n’ai plus envie de plaire. J’ai envie de me reconnaître.
L’autre fois, j’ai regardé un film : Mulan. Je ne parle pas du film d’animation de 1998, non, mais le live action qui est sorti en 2020, par Disney. Comme tous ses films d’animation actuel, ils sont reproduits en live action. À mon sens, ce film a une profondeur que le film d’animation n’a pas , car il a une ambiance plus sérieuse, moins cartoon. J’imagine que ce film a dû faire des déçu(e)s car on n’y voyait pas l’emblématique Mushu, ce petit dragon rouge, qui accompagnait Mulan et qui essayait de l’aider comme il le pouvait. Lors de l’annonce de sa sortie en 2020, je m’étais dit que j’allais le regarder à sa sortie, mais ce n’est que cinq ans plus tard que je prends réellement le temps de le regarder. Et pourquoi j’en parle maintenant ? C’est parce que je me suis un peu reconnue en elle . Ce que je veux dire, c’est qu’ on a, en chacun de nous, une force que nous n’osons pas réellement montrer. Ou du moins, que nous sommes contraints de cacher. Et c’est d’autant plus vrai...